En 2020, toutes les entreprises titulaires d’un marché public devront transmettre leurs factures sous forme électronique à l’État, aux collectivités territoriales et aux établissements publics.Mais pour l’heure, cette obligation s’impose déjà aux grandes entreprises (plus de 5 000 salariés) et aux entreprises de taille intermédiaire (250 à 5 000 salariés). À compter du 1er janvier 2019, ce sera au tour des petites et moyennes entreprises, qui emploient de 10 à 250 salariés, d’adresser leurs demandes de paiement par voie électronique aux acheteurs publics.
À noter : à partir du 1er janvier 2020, l’obligation de recourir à une facture électronique s’appliquera également aux très petites entreprises (TPE).
La facturation électronique présente un certain nombre d’avantages en termes de :
-trésorerie (diminution de la charge associée au traitement et au suivi des factures) ;
– productivité (diminution des délais de traitement par facture) ;
– temps (diminution du délai de transmission des factures) ;
– sécurité (grâce à la fonctionnalité d’archivage, à l’architecture des systèmes d’informations déployés et au suivi normé de la facture) ;
– transparence (exemplarité, image et notoriété) ;
– protection de l’environnement (diminution de l’empreinte carbone).
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